Études de cas
Vous voulez en savoir plus sur les autres établissements de restauration collective qui ont rejoint l’aventure Cool Food Pro ?
Consultez les études de cas pour découvrir comment d'autres établissements de restauration collective ont mis en place des changements pour améliorer leur impact environnemental !
Comment introduire une part de produits BIO dans vos achats ?
Le CHRU de Brest qui réalise 6 400 repas par jour (patients et personnel confondus) souhaite introduire une part de produits BIO sans pour autant impacter trop fortement son prochain budget.
La cuisson basse température : levier de réduction des grammages de viande pour favoriser la qualité
La mise en place d’une cuisson basse température de nuit a permis à la cuisine centrale de Brest de réduire les pertes en cuisson et de réaliser une économie en réduisant les quantités de viande achetées. La cuisine a ainsi pu proposer d’intégrer progressivement des viandes bio de meilleure qualité à ses convives.
De la chapelure maison pour réduire le gaspillage du pain
Le CHU de Brest a décidé de produire sa propre chapelure maison pour lutter contre le gaspillage alimentaire, en valorisant les restes de pain. Une démarche écologique et économique, qui permet de proposer des recettes maison et plus savoureuses à leurs convives.
Réduction du grammage de poisson tout en passant du poisson surgelé au frais
L’association des Genêts d’Or a mis en place sur ses sites de restauration (1 800 convives / jour) un changement de pratique axé sur la réduction du grammage de la portion de poisson. Ils ont réduit de 30g les portions par convives sur les recettes à base de filet de colin et saumon surgelé, en basculant les achats de ces poissons en frais (il y a en effet plus de pertes sur le poisson surgelé). Ils ont mis en application le principe de “manger mieux manger moins”. Le poisson frais est en effet beaucoup plus qualitatif et mieux consommé.
La restauration commerciale rapide, acteur-clé dans la réduction du gaspillage plastique
Dans le secteur agroalimentaire, le plastique est largement utilisé : il contribue à la sécurité des produits et permet ainsi de limiter le gaspillage alimentaire. Cependant, près de 35 % des déchets plastiques rejetés dans l’environnement proviennent d’emballages ou de contenants alimentaires (source : projet PPP). Une grande partie de ces emballages sont à usage unique. Pour réduire cette pollution, les alternatives identifiées sont les contenants réutilisables ou à base d’autres matériaux.